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Les "Mères de l’Espoir" de la Wizo organise tous les vendredis à 12h15, au Trocadéro pour Paris, un rassemblement pour la libération des otages âgés de un an à 85 ans, victimes des terroristes du Hamas.
Cela fait plus de 100 jours que des femmes, des enfants et des personnes âgées sont aux mains des terroristes. Ils sont plus de 130 et parmi eux trois Français. Nous sommes des épouses, des mères et des sœurs. Nous ne devons pas les oublier.
Toutes les conventions internationales sur le droit de la guerre, les droits de l’homme et le droit des enfants ont été bafouées.
C’est pourquoi nous vous invitons à venir soutenir les "Mères de l’espoir"; les rassemblements ont lieu au Trocadéro à 12H15.
Françoise SEME-WALLON, Alice BENHAMOU-PANETTA et Pascale MESNIL ont participé au rassemblement du 19 janvier.
L’Union Européenne des Femmes, section française, a apporté son soutien à la motion initiée par le NCRI des femmes iraniennes en France, contre la venue aux Nations Unies à Genève, le 13 Décembre 2023, du président iranien, Ebrahim Raisi, au forum sur les réfugiés. C’est lui qui a organisé le massacre de centaines de prisonniers politiques.
Nous sommes heureuses d’annoncer que le président du régime iranien, Ebrahim Raisi a annulé son voyage à Genève alors que des voix s’élèvent pour demander son arrestation. C’est une grande réussite pour les femmes iraniennes qui se battent pour la démocratie et le respect des droits humains.
Nous sommes fières de leur avoir apporté notre soutien.
2e colloque - Musée de l'Homme, Palais de Chaillot - Paris : 14 h - 18h15, accueil à partir de 13h30
L'ONU avait fixé la date du 9 décembre, date anniversaire de la Convention des Nations Unies de 1948 pour la prévention et la répression des crimes de génocide, pour commémorer ce jour-là dans le monde entier le souvenir de leurs victimes et prendre des actions pour en éviter de nouveaux. Ce texte a été ratifié par la France le 14 octobre 1950.
Comme l'a rappelé le secrétaire général de l'ONU, en décembre 2021, tout génocide étant un problème qui se pose à l'échelon mondial, "les États ont la responsabilité première de prévenir les génocides, mais cela ne peut se faire qu'avec la participation de la société dans son ensemble. Les jeunes, les chefs religieux et communautaires, le secteur privé et les médias (surtout les plateformes de médias sociaux) doivent se faire les champions de la prévention. Et ce n'est qu'« en travaillant ensemble, (que) nous pouvons éviter de reproduire les terribles erreurs du passé."
L'Association Nationale des Auditeurs/ ANA Sécurité Justice, via sa section "Avenirs de femmes" avait organisé l'an dernier dans ce cadre un premier colloque sur le thème "les processus génocidaires et leur prévention".