Comme chaque année lors de l’Assemblée générale des Nations Unies qui a eu lieu le 19 Septembre 2023,
Le Secrétaire Général des Nations Unies, Monsieur Antonio Guiterres a prononcé un discours en anglais abordant
les problèmes de la paix dans le monde, des migrants et du changement climatique. Puis s’est adressé en
français lorsqu’il a abordé la situation des droits des femmes dans le monde établissant une comparaison
scabreuse et odieuse entre la loi française interdisant le port de l’abaya pour les filles et les femmes dans
les collèges et les lycées et l’obligation du port du voile pour les filles et les femmes en Iran.
Les filles et les femmes iraniennes sont prêtes à mourir pour ne pas porter ce voile. Lors de son discours à
la CSW 67, Le Secrétaire Général des Nations Unies, Monsieur Guiterres s’était attaqué à l’avancée du
patriarcat dans le monde. Le fait de devoir porter pour les filles et les femmes un vêtement couvrant tout
le corps n’est-il pas une marque du patriarcat ?
L’Etat iranien en réponse à la révolte légitime des femmes contre le port obligatoire du voile a répondu
par une aggravation des peines de prison encourues pour le non respect de cette obligation.
En France, les filles et les femmes qui ne respectent pas l’interdiction du port de cette tenue ne risquent
que de ne pouvoir assister aux cours dans leur collège ou lycée.
La France a une législation avancée et inclusive sur les droits des femmes . Son application progresse tous
les jours grâce à la vigilance des femmes et des filles.
Le Secrétaire Général des Nations Unies s’est disqualifié auprès des filles et des femmes françaises aussi
bien qu’iraniennes.
Nous nous battons pour nos droits : l’égalité femme/homme, la liberté et la démocratie !